Avant : une chambre en second jour à s'approprier

Implantée au dos du salon, la principale chambre de l'appartement était alimentée en lumière naturelle par une lucarne percée dans la cloison de séparation. Ce positionnement en second jour n'a rien d'inédit à Marseille (notamment au vu de l'ancienneté de l'immeuble) mais les proportions de l'ouverture étaient un peu trop limitées en l'état, créant une désagréable sensation d'enfermement. Les proportions de la chambre étaient en revanche suffisantes pour répondre aux besoins actuels. Un constat rassurant qui a permis à la propriétaire et à son architecte d'intérieur de concentrer leurs efforts sur l'atmosphère de la pièce.
© Agence Mars Avril - Stéphanie Le Rouzic