Avant : l'intérieur de la grange

Une fois la porte cochère franchie, la parcelle d'origine n'était pas très accueillante. Et puisque cette grange était située non loin de monuments ou de sites historiques protégés, les travaux envisagés devaient être soumis à la consultation de l'architecte des bâtiments de France. Et, parmi les contraintes évoquées plus haut, on trouvait : 
- la conservation de l'emplacement de la porte d'origine, 
- l'impossibilité de créer de nouvelles ouvertures, alors qu'il n'y en avait qu'une seule, côté rue, 
- l'interdiction de surélever les lieux, 
- l'obligation d'utiliser un revêtement à la chaux...
© Emmanuel Roux et l'agence Brengues Lepavec architectes