Un chantier aux conditions météo compliquées

Pour ce faire, il a eu carte blanche en termes de plan, d'aménagements et de matériaux avec une seule contrainte : dépenser moins pour gagner plus. Et afin de conserver les façades du permis déposé, les panneaux préfabriqués se sont vite imposés et, avec eux, le choix d'une maison passive, réputée pour sa consommation d'énergie basse. Optimisation des coûts oblige, Armel Joly a fait appel à une entreprise française, Logelis, qui a breveté une méthode de construction en filière sèche, dérivée de l'ossature bois.
© Armel Joly