Avant-après : des WC mal agencés au bout du couloir où tout était à revoir

Dans cet appartement des années 70, Little Worker a eu fort à faire. En témoignent ces cabinets mal fichus qui avaient soif de modernité et ils ont été servis, vous verrez.

Avant-après : des WC mal agencés au bout du couloir où tout était à revoir
© Little Worker

À l'occasion de leur tout premier achat, ce couple de trentenaires a fait appel à l'agence Little Worker pour transformer leur nouvel appartement, situé dans le XIe arrondissement de Paris, en vrai cocon. Quatre mois de travaux plus tard, leur 72 m² datant des années 70 s'est offert une seconde jeunesse : tout a été repensé pour créer un espace ouvert et baigné de lumière. Suivez le guide !

C'est fin 2023 que l'équipe de Little Worker entre en scène. Avec un budget de 87 000 euros pour tout refaire. Objectif de Rachèle et Adrien ? Des espaces de vie plus ouverts, plus fluides aussi, où l'on se sent bien et où l'on peut partager des moments de convivialité. Le tout, dans une ambiance à la fois minimaliste et chaleureuse. Résultat : isolation refaite, électricité remise aux normes, nouvelle suite parentale, cuisine ouverte sur le séjour, déco soignée dans chaque pièce... Rien n'a été laissé au hasard. Un projet complet, mené tambour battant, du premier devis jusqu'au dernier coup de pinceau.

Dans la pièce qui nous intéresse aujourd'hui, j'ai nommé les WC, le sol était pavé de petits carreaux désuets et une lumière froide provenait du plafond. En bref, cette pièce n'avait pas bougé d'un poil depuis la construction de l'immeuble. Rien de folichon, tout était resté dans son jus.

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© Marie Gestin

Suite aux travaux, ces lieux d'aisance n'ont plus rien à voir et c'est tant mieux ! La décoration reprend les mêmes codes que dans la salle de bains toute proche : murs beige moka, essence de bois chaleureux et faïences claires pour apporter de la lumière. Le WC suspendu, discret et compact, s'intègre parfaitement à l'ensemble.

En prime et grâce à cette éco-rénovation, Rachèle et Adrien réduisent leur empreinte carbone de 400 kg de CO2 par an, soit l'équivalent d'un aller-retour Paris-New York en avion. Un gain rendu possible, entre autres, par l'installation d'un extracteur d'air hygroréglable.