Maîtrisez les jeux de lignes de votre intérieur
Les lignes d’un intérieur sont une des clés du succès pour obtenir une déco habilement composée. Comment les décrypter et les associer entre elles ? Réponse à travers cette chronique qui vous permettra de porter un nouveau regard sur votre intérieur et de jouer avec les lignes comme une pro !
Lorsque nous regardons un intérieur (au même titre qu’un tableau), notre œil décrypte inconsciemment tout ce qu’il voit. Ce que nous éprouvons en retour est plus ou moins agréable en partie grâce à certains critères esthétiques que les architectes et décorateurs maitrisent parfaitement. Les lignes font partie des éléments qui structurent nos intérieurs, tout comme la couleur.
Reconnaître les lignes

Quel jeu de ligne pour quel résultat ?
Ordonner, aligner ou décaler les lignes permet de favoriser une fluidité visuelle ou, au contraire, d’attirer l’attention. C’est à vous de placer les lignes en fonction du résultat que vous souhaitez obtenir. Concrètement, si vous appréciez une ambiance apaisante, il faut reposer votre regard. Par conséquent, il est nécessaire de minimiser le décalage entre toutes les lignes qui composent votre espace. A l’inverse, si vous avez envie d’apporter du rythme et de réveiller votre déco, c’est en décalant certains éléments que vous parviendrez à attirer l’œil. Plus vous avez de meubles dans une pièce, plus les lignes sont nombreuses. Si vos meubles ont tous des hauteurs différentes, les lignes ne sont pas maîtrisées. De manière générale, plus il y aura de lignes non maîtrisées, plus vous aurez une impression de désordre dans votre intérieur.La marche à suivre

Un bon exercice
Apprenez à décrypter les lignes à l’aide de photos d’intérieur réalisées par des décorateurs. Livrez-vous ensuite à cet exercice en regardant chaque mur de votre séjour par exemple. N’y a-t-il pas des meubles à déplacer ou des objets à décaler légèrement pour favoriser les jeux de ligne ?Et aussi : La lumière, effet décoratif de premier choix
Images @ Stéphanie Rose-Tomasella et Cécile Debise / Le Journal des Femmes